S’installer dans un autre pays en tant que réfugié est une procédure complexe. Cependant, c’est encore plus difficile si les enfants mineurs eux-mêmes se retrouvent dans un autre État sans tuteurs ni parents. Pour de tels cas, le gouvernement belge a créé des programmes spéciaux. Ils vous permettent de trouver rapidement un refuge, un lieu d’hébergement permanent ou temporaire. Dans ce dernier cas, il est possible de vivre dans une famille d’accueil en Belgique, ce qui améliore l’adaptation de l’enfant au nouvel environnement social.
[lwptoc]Si un enfant entre sur le territoire belge sans parents ni tuteur et qu’il n’a pas encore 18 ans, il obtient le statut de réfugié non accompagné. dans un premier temps, vous devez contacter les représentants CPAS / CPAS. Cela peut se faire sur le site officiel de l’organisation ou par l’intermédiaire de bénévoles qui rencontrent les réfugiés dans les gares, les aéroports internationaux, les gares routières. Après la première admission et l’entretien, un tuteur est nommé qui aide à placer les enfants mineurs dans des familles d’accueil en Belgique, organise des études et un autre lieu de résidence.
Pourquoi dois-je m’inscrire pour la première fois:
Si vous avez des questions ou des difficultés lors de la première étape, vous pouvez contacter l’un des représentants du CPAS / CPAS ou de Fedasil. De plus, il existe des téléphones d’assistance 24 heures sur 24 – 101 et 112. Pour les enfants réfugiés, ils fournissent des conseils, une aide médicale, psychologique ou financière urgente.
Important: selon la loi belge, le vagabondage est une infraction pénale. Par conséquent, dès le premier jour de votre séjour dans le pays, vous devez contacter les autorités de l’État.
Les organisations belges de défense des droits de l’homme proposent plusieurs possibilités d’hébergement pour les réfugiés mineurs. Le plus souvent, ils s’arrêtent dans une famille d’accueil lorsque les parents deviennent tuteurs. Si les circonstances vous permettent de vivre dans un refuge ou un centre d’accueil, ces options sont également envisagées. L’objectif principal est de fournir à l’enfant un maximum de confort dans le pays.
C’est la meilleure voie d’adaptation sociale à la société belge. Selon la législation locale, la famille d’accueil est composée des habitants natifs de la Belgique ou des citoyens qui ont reçu un permis de séjour dans le pays. Ce problème est résolu avec le tuteur de l’État et un avocat. Souvent, les enfants réfugiés choisissent de vivre dans une famille d’accueil en Belgique avec des parents ou des connaissances proches. Avant les formalités administratives, les futurs tuteurs sont testés pour voir s’ils peuvent assurer un environnement matériel et social à l’enfant, si l’appartement ou la maison répond aux conditions de vie.
À quoi ressemblera la vie dans une nouvelle famille:
Pour contrôler le niveau de résidence dans la famille d’accueil belge, celle-ci est périodiquement visitée par un tuteur de l’Etat. Grâce à lui, vous pouvez organiser des communications, des réunions vidéo avec de vrais parents. Si la communication est perdue avec ce dernier, vous pouvez tenter de la rétablir via OCMW / CPAS.
Important: violation des conditions de vie, détérioration de la qualité de vie – telles sont les raisons de retirer un enfant d’une famille d’accueil en Belgique.
L’asile est une procédure obligatoire pour tous les réfugiés, y compris les mineurs. Après votre arrivée dans le pays, vous devez contacter le service d’immigration, des volontaires peuvent vous aider. L’enfant réfugié est alors dirigé vers la cellule CPAS / OCMW. Un entretien a lieu ici, une conversation avec un interprète est possible si le jeune immigré ne connaît pas la langue nationale belge. La préparation de l’entretien est assurée par un tuteur public et un avocat. Au cours de la conversation, les raisons de votre venue au pays, votre identité et votre âge, les coordonnées de votre vraie famille seront clarifiées.
L’entretien aura lieu au bureau du CGRA. Ce sera une personne expérimentée qui vous aidera à raconter votre histoire correctement. Il n’est pas recommandé de mentir, d’exagérer ou de minimiser les faits de la vie. Pour créer un environnement confortable, votre personne de confiance – un parent ou une connaissance proche vivant en Belgique – peut être présente lors de l’entretien.
Après la conversation, l’enfant réfugié obtient l’asile de l’État pour vivre dans une famille d’accueil belge. La décision officielle est écrite et sera envoyée à votre tuteur et à votre avocat. Ils peuvent également tenir compte des normes de l’accord de Dublin si vos parents vivent dans l’un des pays de l’UE. En vertu de cet accord, il est possible pour l’enfant de déménager dans le pays de résidence permanente de ses parents.
Conseil: Lors de l’entretien, l’intervenant du CGRA doit apporter la preuve des faits. Il peut s’agir de documents, de certificats ou d’extraits.
Au premier stade, un enfant réfugié vit dans un centre d’accueil. Il s’agit d’un lieu privilégié dans lequel les immigrés bénéficient d’un logement et de conditions de vie confortables. Pendant les 30 premiers jours, vous vivrez dans un camp de distribution, puis vous serez envoyé dans l’un des centres de réfugiés belges permanents Fedasil. Cela se produira après la nomination d’un tuteur public. Dans le centre d’accueil, vous pouvez non seulement vivre, mais aussi suivre une formation, participer à des événements, découvrir la vie sociale du pays.
Caractéristiques de l’hébergement:
Si vous n’êtes pas satisfait des conditions de vie dans le centre d’accueil, vous pouvez toujours demander l’aide de spécialistes locaux. Ils vous aideront à résoudre les problèmes qui se sont posés, peut-être chercheront-ils des options pour que vous viviez dans une famille d’accueil en Belgique. Une alternative est de quitter le centre d’accueil pendant 2-3 jours.
Important: après avoir atteint l’âge de 18 ans, vous serez transféré dans un camp pour adultes, vous aiderez à faire des études supérieures ou à trouver un emploi.
Selon la loi belge, l’âge de la majorité vient après 18 ans. Avant ce délai, il est recommandé de demander l’asile ou d’entamer la procédure d’obtention d’un titre de séjour. Sinon, après le centre d’accueil, vous n’aurez pas le droit de rester en Belgique. Une alternative est d’organiser un asile pour adultes, ce qui est beaucoup plus difficile. L’État vous prive de tuteur et vous devez effectuer vous-même toutes les démarches documentaires.
Avec de nouvelles responsabilités, vous aurez de nouveaux droits. Un réfugié adulte peut compter sur des prestations sociales de l’État, une aide à la location d’un logement. Cependant, il n’est pas nécessaire de couper les liens avec la famille d’accueil en Belgique. Ces personnes vous aideront avec d’autres arrangements dans le pays.
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