Travailler comme maçon en Belgique est l’une des options les plus réalistes et accessibles pour les immigrants, surtout ceux qui veulent rapidement trouver du travail en Europe et commencer à gagner de l’argent. Le secteur de la construction est en croissance constante, et il manque toujours de main-d’œuvre qualifiée. C’est pourquoi les maçons sont toujours recherchés, qu’ils soient locaux ou étrangers.
Si tu as de l’expérience dans la construction ou si tu es prêt à apprendre sur le terrain, tes chances de décrocher un job sont élevées. Beaucoup d’employeurs belges sont ouverts aux travailleurs étrangers, surtout si tu sais travailler de tes mains et que tu n’as pas peur du boulot physique. Parler la langue est un atout, mais même avec des connaissances minimales, tu peux commencer, surtout via des agences qui aident avec les démarches et l’intégration.
Exigences pour les maçons en Belgique
Pour être embauché comme maçon en Belgique, il ne suffit pas d’en avoir envie – il faut des compétences spécifiques et répondre à certaines exigences. Le secteur de la construction est bien organisé ici, et les employeurs valorisent le professionnalisme. L’essentiel, c’est d’avoir de l’expérience et de connaître les techniques modernes de construction, notamment la pose de briques, le travail avec le clinker et la restauration de bâtiments anciens.
Tu es étudiant et cherches du travail en Belgique ? Découvre toutes les options dans cet article.
Les offres d’emploi demandent souvent un minimum de 2 à 3 ans d’expérience. Cela prouve que tu sais lire des plans, respecter les normes de construction et gérer les tâches sur chantier sans supervision constante. L’expérience en restauration est un gros plus, car la Belgique compte beaucoup de bâtiments historiques où la précision et l’attention aux détails sont cruciales.
Connaître une des langues – français, néerlandais ou au moins un anglais de base – est aussi apprécié. Ce n’est pas toujours obligatoire, mais ça facilite l’adaptation, la communication avec l’équipe et la compréhension des règles de sécurité.
Exigences pour un maçon en Belgique pour les immigrants :
- Expérience professionnelle
- Minimum 2–3 ans dans le secteur de la construction
- Compétences en pose de briques, clinker, parpaings ou béton cellulaire
- Expérience en travaux de restauration (souhaitable)
- Capacité à lire des plans de construction et à travailler selon les spécifications du projet
- Compétences professionnelles
- Connaissance des technologies : isolation, armature, montage de coffrages, préparation de mortier
- Maîtrise des techniques de maçonnerie : standard, décorative, revêtement
- Connaissance des normes de sécurité et des standards de construction de l’UE
- Capacité à travailler en équipe et à suivre les instructions du contremaître
- Utilisation confiante des outils et équipements de construction
- Connaissances linguistiques
- Connaissance de base d’une langue : français, néerlandais ou anglais
- Nécessaire pour comprendre les instructions, communiquer avec les collègues et respecter les règles de sécurité
- Documents
- Passeport international
- Permis de travail ou visa (pour les citoyens hors UE)
- CV détaillant l’expérience et les compétences
- Certificat médical et casier judiciaire (dans certains cas)
- Certificats ou diplômes professionnels (souhaitable)
- Permis de conduire
- Permis de catégorie B
- Important pour les chantiers éloignés ou pour se déplacer indépendamment
- Condition physique
- Bonne forme physique
- Prêt à effectuer un travail physique intense, y compris en extérieur par tous les temps
- Capacité à travailler 8–10 heures par jour
- Qualités personnelles
- Responsabilité et ponctualité
- Absence de mauvaises habitudes
- Capacité à travailler dans une équipe internationale et à respecter la discipline du travail
Une formation formelle n’est pas toujours requise, surtout si tu as une solide expérience pratique. Cependant, un diplôme professionnel (par exemple, école technique de construction) est un avantage. Certains employeurs ou agences peuvent demander une vérification du diplôme, surtout pour des contrats à long terme ou un emploi officiel.
Pour faire reconnaître un diplôme étranger, il peut être nécessaire de le traduire dans l’une des langues officielles de la Belgique (français, néerlandais ou allemand) et de le faire certifier par des organismes comme NARIC (Centre national pour la reconnaissance académique). Pour les métiers manuels, une vérification informelle des compétences – via un entretien, un essai ou des lettres de recommandation – suffit souvent.
Conseil :
Un jour d’essai sur un chantier en Belgique est une super opportunité pour montrer tes compétences sans diplôme et décrocher une offre d’emploi directe.
Validation des qualifications
Confirmer tes qualifications et suivre des formations complémentaires est une étape clé si tu veux travailler comme maçon en Belgique. Même avec une expérience acquise ailleurs, valider ton diplôme et suivre des cours locaux aide à mieux comprendre les normes et la sécurité. Ça te permettra de trouver de meilleurs jobs plus rapidement et de booster ton professionnalisme. Voici comment faire.
Validation des qualifications pour les maçons en Belgique
La validation officielle des qualifications n’est pas toujours obligatoire, surtout si tu es embauché via des agences ou des employeurs qui testent tes compétences sur place. Mais un diplôme ou des certificats validés augmentent tes chances de décrocher des emplois stables et mieux rémunérés.
Si ton diplôme de maçon a été obtenu hors UE, tu peux le faire reconnaître via NARIC dans la région où tu comptes travailler – Flandre, Wallonie ou Bruxelles. Il faut soumettre une demande, des documents traduits et, parfois, passer des tests ou entretiens.
Étapes pour faire reconnaître un diplôme de maçon en Belgique :
- Détermine ta région :
- Flandre : NARIC-Vlaanderen
- Wallonie et Bruxelles : ARES
- Prépare les documents :
- Copie du diplôme et du relevé de notes
- Traduction en néerlandais (Flandre) ou français (Wallonie/Bruxelles) par un traducteur assermenté
- Copie du passeport ou de la carte d’identité
- Formulaire de consentement pour la vérification des documents
- Optionnel : casier judiciaire, carnet de travail, lettres de recommandation
- Soumets la demande :
- Flandre : via le site NARIC-Vlaanderen
- Par courrier : Agentschap voor Hoger Onderwijs, Volwassenenonderwijs, Kwalificaties en Studietoelagen, Koning Albert II-laan 15 bus 129, 1210 Brussel, België
- Contact : 1700 (depuis la Belgique) ou +32 2 553 17 00 (de l’étranger)
- Paye les frais :
- Reconnaissance du niveau d’éducation : 119 €
- Reconnaissance de qualifications spécifiques : 238 €
- Paiement par virement bancaire après enregistrement de la demande
- Attends l’examen :
- Délai moyen pour une reconnaissance générale : ~4 mois
- Pour une reconnaissance professionnelle spécifique : ~9 mois
- Demandes supplémentaires ou entretiens possibles
- Reçois la décision :
- Résultat envoyé par courrier ou disponible en ligne
- Si validé, ton diplôme est utilisable officiellement pour travailler ou poursuivre des études
Remarque :
La procédure en Wallonie et à Bruxelles est similaire, mais gérée via le site ARES, où tu trouveras formulaires, adresses et instructions.
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Valider ta qualification de maçon en Belgique est une excellente façon de prouver ton niveau et d’obtenir des emplois mieux rémunérés. Même avec une expérience étrangère, cette étape t’aide à t’intégrer aux normes locales. Ça vaut vraiment le coup !
Cours de formation continue
Les immigrants ont accès à des cours de formation, payants ou gratuits. Des centres comme VDAB (Flandre), FOREM (Wallonie) et ACTIRIS (Bruxelles) proposent des programmes pour les métiers de la construction, incluant la maçonnerie, la sécurité, la lecture de plans et des compétences spécialisées. Ces cours sont souvent financés par l’État et gratuits pour les chômeurs ou immigrants avec un permis de travail.
Tu peux aussi suivre des cours courts pour obtenir des certificats comme :
- VCA (Veiligheid, gezondheid en milieu Checklist Aannemers) : Certificat de sécurité obligatoire sur la plupart des chantiers en Belgique et aux Pays-Bas.
- Certificats UE : Confirment que tes compétences respectent les normes européennes.
Souvent, la formation se fait sur place, surtout si tu commences via une agence ou avec un mentor. Les employeurs sont prêts à former des travailleurs motivés « sur le terrain » si tu montres du sérieux et de l’envie d’apprendre.
Conditions de travail
Le travail de maçon en Belgique est encadré par le droit du travail, les conventions collectives et les normes de sécurité. Les points clés incluent les horaires, les types de contrats, les tâches et les exigences de sécurité sur les chantiers.
Horaires et planning :
- Heures par semaine : 38–40
- Jours de travail : lundi–vendredi
- Journée type : 7h00–8h00 à 16h00
- Pauses : déjeuner obligatoire et pauses techniques
- Heures supplémentaires : payées à un taux plus élevé, doivent être convenues
- Week-ends : libres, sauf accord spécifique
- Réglementé par la législation sur le temps de travail et les conventions collectives (CP 124 – Commission Paritaire de la Construction).
Tâches principales incluent la pose de briques, blocs de béton et autres matériaux, la préparation de mortiers, l’utilisation de niveaux, de marquages laser et de plans. Tu devras aussi démonter des structures anciennes, installer des cloisons, participer à la coulée de fondations et effectuer des travaux de finition dans ton domaine. Le respect strict des normes de construction, des règles de sécurité et des instructions du contremaître est essentiel. Le travail peut concerner des constructions neuves ou des rénovations.
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Types de contrats :
- Contrat à durée indéterminée (CDI) : Long terme avec avantages sociaux complets
- Contrat à durée déterminée (CDD) : Pour une période ou un projet spécifique
- Via une agence : Via un intermédiaire, souvent avec possibilité de devenir permanent
- Emploi saisonnier : Surtout au printemps et en été
- Période d’essai : 1–3 mois, selon l’entreprise
- Réglementé par le Code des contrats de travail (Code du Travail).
Le travail se fait en intérieur ou en extérieur, selon le projet. Les entreprises fournissent généralement les outils, vêtements de travail et équipements de protection individuelle (EPI). Les chantiers disposent de commodités temporaires, toilettes et zones de repos. Des déplacements entre chantiers dans une région peuvent être nécessaires, en ville ou à la campagne.
Santé et sécurité au travail sont strictement réglementées :
- Briefings de sécurité obligatoires
- EPI : casques, gants, chaussures de sécurité, gilets
- Coordinateur de sécurité sur le chantier
- Inspections par le Contrôle du Bien-être au Travail
Les exigences sont définies par la Loi sur le bien-être des travailleurs et les réglementations européennes, comme la Directive 89/391/CEE, qui établit les normes de sécurité dans toute l’UE. Les règles spécifiques à la construction, comme la Directive 92/57/CEE, couvrent les chantiers temporaires ou mobiles et sont obligatoires pour toutes les entreprises en Belgique, y compris les sous-traitants étrangers.
Important :
La sécurité sur les chantiers en Belgique suit les normes EU-OSHA et les directives européennes, garantissant un niveau de sécurité uniforme dans toute l’UE.
Salaires des maçons en Belgique
Les salaires des maçons en Belgique sont stables et compétitifs par rapport aux autres pays de l’UE. Le salaire dépend de la région, des qualifications, du type de contrat et de l’employeur. Pour les étrangers sans compétences linguistiques, les salaires démarrent au minimum, mais augmentent avec l’adaptation et l’expérience.
Taux horaire moyen : 15–22 € brut. Un maçon débutant sans expérience gagne environ 2 500 €/mois avant impôts, tandis que les spécialistes expérimentés touchent 3 000–3 800 € ou plus. Les heures supplémentaires et les conditions difficiles peuvent augmenter les revenus grâce à des primes.
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Le salaire est généralement horaire, versé mensuellement. Des paiements supplémentaires peuvent inclure :
- Indemnités pour transport et repas
- Primes pour qualité et respect des délais
- Suppléments pour travail en hauteur, par mauvais temps ou le week-end
Facteurs influençant le salaire :
- Expérience pertinente et références
- Connaissance de la terminologie de construction en néerlandais, français ou allemand
- Disponibilité pour travailler sur des chantiers éloignés ou grands
- Certificats comme le VCA
Région | Qualification | Taux horaire (€ brut) |
Flandre (Gand, Anvers) | Débutant | 15–17 |
Spécialiste expérimenté | 18–22 | |
Bruxelles | Débutant | 16–18 |
Spécialiste expérimenté | 20–23 | |
Wallonie (Liège, Namur) | Débutant | 14–16 |
Spécialiste expérimenté | 17–20 | |
Chantiers industriels et sous-traitants internationaux | Spécialiste avec VCA et compétences linguistiques | Jusqu’à 24 |
En 2025, des plateformes comme VDAB.be, Le Forem et Randstad.be publiaient des offres pour maçons avec :
- 16,89 €/heure : Débutants
- 18–21 €/heure : Spécialistes avec 3+ ans d’expérience
- 22+ €/heure : Grands projets ou sous-traitance
Ce sont des taux bruts, avec 25–30 % déduits pour les impôts et cotisations sociales. Utilise des calculateurs en ligne comme jobat.be pour estimer le salaire net selon la région, le statut marital et la classe fiscale.
Comment trouver un emploi de maçon en Belgique
Commence par choisir les bonnes plateformes d’emploi. Les sites officiels comme VDAB.be (Flandre), Le Forem (Wallonie) et Actiris (Bruxelles) sont les meilleurs choix. Les plateformes internationales comme Indeed et LinkedIn publient aussi régulièrement des offres dans le bâtiment.
En plus de la recherche personnelle, beaucoup passent par des agences spécialisées dans le bâtiment pour trouver des emplois et gérer les démarches. Les contacts avec des ouvriers ou des entreprises peuvent aussi accélérer le processus.
Organisation/Entreprise | Adresse | Site Web | Description des services |
VDAB (Flandre) | Régions de Flandre | vdab.be | Service officiel d’emploi de Flandre, offres, formations, soutien |
Le Forem (Wallonie) | Régions de Wallonie | leforem.be | Centre public d’emploi de Wallonie, recherche d’emploi, formations |
Actiris (Bruxelles) | Bruxelles, Rue Royale 90 | actiris.brussels | Service d’emploi de Bruxelles, offres, conseils |
Randstad Belgique | Bureaux dans toute la Belgique | randstad.be | Agence privée, placements dans le bâtiment |
Indeed Belgique | Plateforme en ligne | be.indeed.com | Site international d’emploi, recherche par région/métier |
Plateforme en ligne | linkedin.com | Réseau professionnel pour emplois et réseautage | |
Tempo-Team | Divers bureaux en Belgique | tempo-team.be | Agence pour emplois temporaires/permanents, incluant le bâtiment |
Start People | Divers bureaux en Belgique | startpeople.be | Agence pour emplois temporaires/permanents, métiers manuels |
Constructiv | Association belge de la construction | constructiv.be | Organisation professionnelle, formations, offres d’emploi |
Manpower Belgique | Bureaux dans les grandes villes | manpower.be | Grande agence pour emplois dans le bâtiment |
Ton CV doit détailler ton expérience, tes compétences, ta connaissance des matériaux et des règles de sécurité. Mentionne les langues, les certificats (ex. VCA) et ta disponibilité pour des déplacements ou horaires flexibles. Un CV clair et concis attire l’attention des employeurs.
Documents pour un emploi légal :
- Passeport ou carte d’identité valide
- Permis de travail ou permis de séjour (si requis)
- Certificats de qualification/expérience
- Certificat médical pour travail physique
- Parfois, preuve de formation à la sécurité
Après une offre d’emploi, inscris-toi au service de l’emploi belge et signe un contrat de travail officiel pour bénéficier des avantages sociaux, de l’assurance maladie et de la protection des droits des travailleurs.
Logement et transport pour les travailleurs
Quand tu pars travailler comme maçon en Belgique, le logement et le trajet jusqu’au chantier sont des priorités. Personne ne veut vivre dans un taudis ou claquer la moitié de son salaire en bus. Heureusement, la plupart des employeurs du bâtiment proposent des solutions pour que tu puisses te concentrer sur le boulot.
Les entreprises fournissent souvent un logement – appartements loués, maisons partagées ou dortoirs. Les conditions sont simples mais confortables : chambre avec lit, cuisine commune, douche, Wi-Fi. Coût : 200–400 €/mois, souvent déduit du salaire. Si l’employeur ne fournit pas de logement, il peut aider à trouver une location, environ 500–700 €/chambre dans une petite ville.
Ce qui est inclus dans le logement fourni par l’employeur :
- Meubles et appareils de base (frigo, cuisinière, lave-linge)
- Services publics (eau, électricité, parfois Internet)
- Nettoyage des espaces communs (dans les dortoirs)
Le transport jusqu’au chantier est généralement organisé. Pour les projets éloignés, les employeurs fournissent des camionnettes qui passent te chercher le matin et te ramènent le soir. Si tu es proche, tu peux marcher ou pédaler – le vélo est populaire en Belgique. Rarement, tu peux recevoir un pass pour le bus ou le train, selon l’entreprise.
La vie quotidienne est facile à organiser. Fais tes courses chez Aldi ou Lidl pour des produits pas chers et cuisine dans la cuisine commune. Le week-end, beaucoup d’ouvriers se retrouvent dans des pubs locaux ou visitent les villes voisines – la Belgique est petite, tout est à portée de main.
Fait intéressant :
En Belgique, les travailleurs migrants vivent souvent dans des « camps de construction » – des logements modulaires temporaires avec de bonnes conditions près des grands projets.
Visa de travail et légalisation
Tu ne peux pas travailler légalement comme maçon en Belgique sans visa de travail, donc cette étape est cruciale. Pas de panique : si tu sais quoi faire, ça se passe bien. Évite juste les arnaqueurs qui promettent de tout « arranger » pour quelques milliers d’euros.
Pour les Ukrainiens et les citoyens des pays de la CEI, tout commence par un contrat de travail. L’employeur belge doit demander un permis de travail, en prouvant qu’il n’a pas trouvé de candidats locaux. Ensuite, tu demandes un visa de type D (long terme), ce qui prend 1–3 mois. Pour les Ukrainiens, une procédure simplifiée existe depuis 2022 grâce à la protection temporaire Florida.
Documents pour le visa :
- Passeport (valide au moins 6 mois)
- Contrat de travail d’une entreprise belge
- Casier judiciaire
- Assurance maladie
- Photos et formulaire de visa
Les Ukrainiens avec le statut de protection temporaire n’ont pas besoin de visa – il suffit de s’inscrire à la commune pour obtenir une carte d’identité. Pour les pays de la CEI (ex. Ouzbékistan, Kazakhstan), c’est plus complexe, parfois avec une validation des qualifications.
Pour éviter les arnaques, travaille avec des agences fiables ou directement avec les employeurs. Vérifie les avis sur les forums, méfie-toi des paiements d’avance et lis bien les contrats. L’emploi légal passe toujours par des canaux officiels.
Fait intéressant :
En 2024, la Belgique a délivré plus de 20 000 visas de travail pour des travailleurs qualifiés et non qualifiés d’Europe de l’Est.
Conclusion
Travailler comme maçon en Belgique, c’est une chance de gagner 2 000–3 000 €/mois et de t’installer durablement en Europe. C’est parfait si t’as pas peur du boulot physique, si t’es prêt à apprendre et à bâtir une carrière dans la construction. T’as de l’expérience en maçonnerie ou juste des mains solides et du courage ? La Belgique t’attend.
Avantages :
- Salaire élevé par rapport à l’Ukraine ou la CEI
- Logement et transport souvent fournis
- Opportunités de légalisation et de progression
Inconvénients :
- Travail physique intense, surtout sous la pluie
- Barrière linguistique (l’anglais ou le néerlandais de base aide)
- La paperasse pour le visa peut prendre du temps
Mon conseil, pote : Vérifie bien l’employeur, apprends quelques mots en néerlandais ou français, et n’aie pas peur du changement. La Belgique, c’est pas que des gaufres et de la bière – c’est une vraie chance de construire ton avenir. Fais tes valises et en route – ta carrière dans le bâtiment t’attend !