A partir du 1er septembre 2024, de nouvelles règles en matière de regroupement familial entreront en vigueur en Belgique. Ils appartiennent à plusieurs catégories d’immigrés ayant demandé une protection internationale. De plus, les règles s’appliquent aux apatrides . Ces modifications ont été introduites conformément à la loi du 10 mars 2024. Elle apporte des aménagements à la législation et à certaines dispositions de la loi du 15 décembre 1980.
Cela est nécessaire pour réglementer légalement le droit d’entrée, de séjour, d’établissement et d’expulsion des citoyens étrangers. Les principales innovations concernent le droit au regroupement familial pour les parents de mineurs accompagnés bénéficiant d’une protection internationale en Belgique, ainsi que pour les apatrides.
Regroupement familial avec des étrangers mineurs bénéficiant d’une protection internationale. Les parents de mineurs accompagnés sous protection internationale peuvent désormais également être réunis avec eux si les conditions sont remplies.
Règles pour les étrangers et les apatrides :
Cela simplifiera la procédure et réduira le temps nécessaire pour remplir les documents. Toutefois, cela ne remplace pas les formalités de la procédure. En cas de violation, le regroupement familial en Belgique pourra être refusé au demandeur. La solution est de recourir aux services d’un avocat.
Selon le nouvel article 57/45 de la loi sur les étrangers, les immigrés apatrides sont pratiquement traités comme des bénéficiaires de la protection internationale en matière de regroupement familial. Il existe cependant une exception pour les parents de mineurs accompagnés qui ont le statut d’apatride. Selon la législation en vigueur, ils ne bénéficient pas du droit au regroupement familial. Seuls les parents de mineurs accompagnés bénéficiant d’une protection internationale disposent de cette possibilité.
Il est important d’évaluer correctement l’âge des enfants afin d’être couvert par cette loi. Cela dépend des facteurs suivants :
L’âge de l’enfant est déterminé en fonction du moment du dépôt de la demande :
Une fois que l’enfant atteint l’âge adulte, l’obligation de vivre avec le parent n’est plus obligatoire. La Cour européenne confirme que l’existence d’une « vie familiale de fait » est suffisante, ce qui implique des contacts réguliers et le maintien de liens personnels et affectifs.
Pour simplifier la procédure, la nouvelle législation prévoit des ajustements à certains articles de la loi. Ils réduiront la charge bureaucratique du demandeur et obtiendront rapidement l’autorisation de regroupement familial en Belgique.
Innovations :
Ainsi, ces évolutions législatives visent à simplifier la procédure de regroupement familial pour certaines catégories de personnes, tout en prévoyant des mécanismes juridiques clairs pour réglementer ces processus.
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